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13ème journée de refus de l’échec scolaire : Le bilan

Le 23 septembre dernier avait lieu la 13ème journée du refus de l’échec scolaire, organisé par l’AFEV, association qui se mobilise chaque année pour accompagner des jeunes en difficulté scolaire et créer du lien dans les quartiers populaires, notamment grâce…

Le 23 septembre dernier avait lieu la 13ème journée du refus de l’échec scolaire, organisé par l’AFEV, association qui se mobilise chaque année pour accompagner des jeunes en difficulté scolaire et créer du lien dans les quartiers populaires, notamment grâce au mentorat.

Le constat établi lors de cette journée par les différents intervenants est que même si le nombre d’élèves en décrochage scolaire est en baisse, la crise sanitaire a engendré une crise éducative et a contribué à une accélération du décrochage scolaire. Une convergence des engagements est donc nécessaire afin de contrer les effets de cette crise.

Selon une étude menée par l’association Synlab au début du confinement, un élève sur cinq était perçu comme étant en risque de décrochage, ce chiffre allant jusqu’à un tiers pour les élèves en collège REP ou lycée professionnel. Or, 40 % des élèves en décrochage n’avaient pas été identifiés avant le confinement comme des élèves à risque[1].

Les enjeux de la rentrée du mois de septembre étaient donc particulièrement importants cette année : un secrétariat en charge de l’éducation prioritaire a pour la première fois était mis en place notamment pour lutter contre les inégalités sociales et le décrochage scolaire. Pour Florence Rizzo, co-fondatrice de Synlab, pour atteindre cet objectif, il est nécessaire de « soutenir la motivation des jeunes, leur capacité à apprendre de manière autonome, développer des pratiques pédagogiques facilitant le raccrochage et déconstruire les croyances erronées »[2].

Quelles sont les solutions proposées aujourd’hui pour favoriser le « raccrochage » scolaire ? Quelles sont les pistes de réflexion des spécialistes de l’éducation ?

Les deux principaux points développés par les acteurs de l’éducation afin de lutter contre le décrochage scolaire sont le renforcement de la continuité pédagogique d’une part (1) et la nécessaire mise en place d’alliances collectives d’autre part (2).

  1. La continuité pédagogique, indispensable mais difficile à mettre en place

Durant le premier confinement, pour certains, la continuité pédagogique a été difficile voire impossible. Les causes des difficultés rencontrées sont principalement au nombre de trois : le manque de matériel informatique (a), le manque de formation des enseignants sur l’utilisation pédagogique des outils numériques (b) et la problématique du maintien du lien social entre les enseignants et certaines familles (c)

  1. L’inégalité des élèves face au numérique

En mai 2015, François Hollande avait annoncé le « Plan numérique à l’école », afin que tous les élèves collégiens disposent, en 2018, d’un outil numérique, grâce à une enveloppe budgétaire d’un milliard d’euros sur trois ans.

Ce plan devait permettre de faire entrer l’école dans le monde du numérique et ainsi rattraper le retard français. En effet, en 2016, seuls 2% des élèves, tous niveaux confondus, étaient équipés d’une tablette. A l’époque, Najat Vallaud Belkacem avait alors affirmé qu’il ne fallait pas que le numérique soit un gadget mais « un outil au service de la pédagogie »[3].

Mais, ce plan numérique a eu pour résultats l’aggravation des inégalités entre les établissements, selon un constat de la Cour des Comptes en 2019. Selon elle, « il aurait fallu mettre en place des dispositifs d’aides ciblées en faveur des élèves qui en font la demande et qui satisfont à des critères sociaux » [4].

Pendant le confinement, les inégalités face au numérique ont été renforcées, puisque certaines familles n’étaient pas équipées en matériel informatique, ou insuffisamment pour le nombre d’enfants qui en avait besoin.

Quelles ont été les solutions mises en place pendant le confinement pour lutter contre ces inégalités ?

Certaines associations ont permis d’aider les élèves les plus en difficulté en raison du manque de matériel numérique. C’est notamment le cas de l’association Emmaüs Connect, qui a mené différentes actions d’urgence avec les réseaux de solidarité, les grandes entreprises et les pouvoirs publics. Ils ont distribué 16 000 ordinateurs et tablettes ainsi que 50 000 recharges internet, mises gratuitement à disposition par SFR, pour permettre aux jeunes de poursuivre leur scolarité[5].

Du côté de l’association Institut Télémaque, leur partenaire BNP Paribas a fait un don de 75 ordinateurs à destination des jeunes[6].

S’agissant des mesures politiques, le gouvernement a annoncé, en avril 2020, un plan de 15 millions d’euros pour renforcer l’accès au numérique, à l’éducation et l’accompagnement scolaire par le tutorat dans les quartiers prioritaires[7]. Plus de 9 millions d’euros seront ainsi mobilisés pour acheter et distribuer du matériel informatique aux élèves des quartiers qui n’ont pas les outils nécessaires pour l’éducation à distance.

  1. La nécessaire formation des enseignants à la pédagogie distancielle

Si l’accompagnement et l’encadrement pédagogique par les professeurs est un élément essentiel dans l’apprentissage des jeunes, la plupart des professeurs ne l’avaient jusqu’à présent mis en œuvre que dans le cadre physique de leur classe. L’apprentissage et la pédagogie associée à mettre en œuvre en distanciel s’avèrent différentes.

En effet, 66 % des professeurs ont exprimé des besoins d’accompagnement pour améliorer la pédagogie à distance et mobiliser les parents d’élèves selon Éric Charbonnier, analyste à la direction de l’éducation de l’OCDE.

La formation au numérique des élèves et des enseignants devient donc un enjeu majeur de l’école tant en termes d’égalité des chances que de transmission des savoirs.

En effet, la pédagogie distancielle ne s’appréhende pas de la même manière que l’école en physique, où l’enseignant peut voir ses élèves et discuter directement avec ceux. La nécessité de former les professeurs à des nouveaux modes d’apprentissage et de pédagogie est donc essentielle pour l’école de demain.

Selon Frédérique Weixler, inspectrice générale de l’éducation nationale, le manque de formation numérique a pu être comblé dans l’urgence grâce à la créativité et la coopération. Mais il y a un réel défi pour l’avenir sur la formation continue des enseignants. 

Les enseignants ont dû, en quelques semaines, s’approprier les outils numériques, maintenir le lien avec les élèves et intégrer les parents dans un système de co-éducation.

  1. L’importance du maintien du lien social

Pendant le confinement, Réseau Canopé, le réseau de création et d’accompagnement pédagogique a formé les enseignants à distance pour réinventer le lien entre l’enseignant, l’enfant et ses parents, malgré la distance et l’absence physique d’école. Mais selon l’association Synlab, 17% des enseignants n’ont pas réussi à établir un lien avec la famille de l’enfant.

L’école en distanciel interroge donc sur l’accompagnement parental qui devient déterminant dans les apprentissages scolaires. En effet, le confinement a eu le mérite de requestionner la relation entre l’école et la famille et la recréation du lien social.

Quelles sont les solutions pour maintenir le lien avec les parents d’élèves et les impliquer davantage dans la scolarité de leurs enfants ?

Depuis quelques années, le système des journées « classe ouverte en activité » est proposé dans certaines écoles. Pendant ces journées, les parents d’élèves peuvent venir à l’intérieur de la classe afin d’observer son fonctionnement pendant les heures de cours. C’est un moyen d’initier le dialogue entre l’école et les familles, notamment avec les parents qui n’ont pas connu l’école ou en ont un souvenir très lointain voir difficile[8]. Cela permet aussi de renforcer la coéducation en la rendant efficiente : la présentation aux parents des stratégies pédagogiques mises en œuvre fait apparaitre la complémentarité entre les apprentissages en classe et les activités en famille[9].  Les parents qui sont les plus impliqués dans la scolarité de leurs enfants favorisent leur réussite scolaire.

En effet, selon Aurore Bergé, députée, il peut exister une défiance des parents vis-à-vis des enseignants car les parents ne sont pas « bilingue éducation nationale, ils ne savent pas toujours ce que les enseignants attendent d’eux. A l’inverse, les enseignants ne sont pas formés à communiquer avec les parents d’élèves »[10]. Il est donc nécessaire d’établir un lien de confiance. Il faudrait peut-être intégrer cette dimension dans les différentes formations. 

  1. Les alliances éducatives comme pistes de solution pour éviter le décrochage scolaire

Les alliances éducatives supposent la mise en place d’écosystèmes grâce à la coopération de différents acteurs impliqués dans l’éducation (a), tels que les associations et les fondations qui sont parties prenantes au système éducatif (b), les entreprises, qui modifient le rapport des jeunes à l’école (c) avec pour ambition de renforcer davantage la mobilisation de la communauté éducative (d)

  1. La nécessaire mise en place d’écosystèmes grâce à une coopérations d’acteurs 

Les acteurs impliqués de l’éducation ont tiré des enseignements de cette crise sanitaire inédite, du confinement et des nouveaux modes d’enseignement à distance.

Il apparait désormais qu’aucun acteur à lui seul ne peut « éviter » l’échec scolaire d’un jeune mais qu’il s’agit avant tout d’une coopération d’acteurs, d’un écosystème favorable et d’une implication de tous. Lutter contre les différents facteurs du décrochage scolaire implique des interventions multiples, d’où la notion « d’alliance », qui suppose des buts partagés ainsi que des priorités et des formes d’action définies en commun[11].

En effet, selon Matthieu Klein, le maire de Nancy, pour que des alliances éducatives puissent être mises en place, il est nécessaire qu’il y ait une envie commune, c’est-à-dire un projet éducatif partagé à l’échelle territoriale, entre l’éducation nationale, les associations, les familles, et l’ensemble des structures éducatives. A Nancy par exemple, a été mis en place un projet éducatif autour du multilinguisme pour que des enfants puissent acquérir très jeune des compétences linguistiques diverses dans le but d’élever l’ensemble des élèves d’un territoire, d’un quartier ou d’une ville. Ce projet permet de donner la capacité à des élèves, éloignés de la locution étrangère, de pouvoir faire des vrais choix d’étude, de mobilité et rester ainsi autonome indépendamment du milieu social duquel ils sont issus.

Ainsi, en fonction des problématiques rencontrées, des solutions adaptées semblent avoir été trouvées.

C’est notamment le cas à l’Université de la Rochelle, la nécessaire adaptation au fonctionnement d’une université étant beaucoup plus difficile en distanciel. En effet, comment réussir à motiver les étudiants quand les cours habituellement en amphithéâtre sont en Visioconférence ? Comment organiser son travail et ses recherches ? Comment s’appuyer sur ces camarades alors qu’on ne les croise jamais ? Les lycéens accédant à la faculté ont de véritables enjeux d’adaptation.

L’université de la Rochelle, consciente de ses enjeux depuis plusieurs années déjà, a mis en place une mobilisation très forte du personnel sur les licences de première année avec notamment la mise en place d’entretiens individuels avec tous les étudiants de première année afin de pouvoir les mettre en relation avec des étudiants mentors (partenariat avec l’AFEV).

  1. Les associations, parties prenantes au système éducatif

Les associations qui ont pour mission la lutte contre l’échec scolaire permettent aux jeunes de développer des compétences individuelles favorisant la réussite. Elles ont un rôle complémentaire à l’école et aux parents, permettant ainsi de créer un lien nouveau entre l’enfant et le système éducatif.

C’est par exemple le cas des associations comme AFEV, Article 1, l’Institut Télémaque qui font partie du collectif mentorat, crée en septembre 2019 par 8 associations afin de développer le mentorat en France, élargir son accès à tous et l’inscrire en cohérence avec les politiques publiques. Le mentorat permet à des lycéens, étudiants, actifs ou retraités d’accompagner individuellement des jeunes afin qu’ils reprennent goût aux apprentissages et à l’école, trouvent leur voie d’orientation ou leur premier emploi[12].  Le collectif a lancé pendant le premier confinement l’opération de solidarité Mentorat d’urgence pour prévenir la rupture pédagogique et le décrochage scolaire en mettant en relation des mentors bénévoles et des jeunes ayant besoin de soutien. Environ 4 000 jeunes en difficultés ont été accompagnés individuellement par des mentors. Ce programme, en complément de l’école, à participer à assurer la continuité pédagogique, avoir accès à des ressources éducatives et culturelles supplémentaires, combattre leur sentiment d’isolement et les remotiver.

Le maire de Nancy souligne le rôle déterminant des étudiants dans le raccrochage scolaire des plus jeunes car ce sont des acteurs de premier plan dans l’accompagnement éducatif des élèves, dont ceux qui sont le plus en difficulté. C’est un engagement structurant et positif pour l’étudiant, qui permet de donner corps à l’idée d’une citoyenneté active. C’est un processus qui permet à l’étudiant de se construire, de développer des compétences mais aussi le sens de la responsabilité et du collectif. C’est donc essentiel que les universités s’appuient sur cet engagement étudiant et l’intègrent dans leur projet éducatif.

Le mentorat est donc l’une des clés face au risque de rupture pédagogique puisqu’il permet de donner confiance en soi, de préserver le lien avec l’école et de travailler sur les questions de connaissance de soi tout en développant des soft skills. Cette approche s’inscrit de manière complémentaire à l’école et permet de tisser un lien différent avec les savoirs et les apprentissages.

  1. L’apport des entreprises dans l’éducation : vers une pédagogie expérientielle ?

Selon Najat Vallaud-Belkacem, ancienne ministre de l’éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, « le lien entre l’école et l’entreprise n’a cessé de s’approfondir (…) Nous avons besoin des entreprises pour ouvrir la porte, accueillir les jeunes, le parcours scolaire n’est pas un corridor sans passerelles mais un parcours où on vous rattrape »[13].

Ces partenariats avec les entreprises peuvent prendre différentes formes, au travers d’actions en direction des élèves, des familles, de la communauté éducative et des salariés en formation continue[14].

En premier lieu, on peut citer l’information et l’orientation des élèves par des professionnels, notamment grâce au Parcours Avenir, qui permet aux élèves de la 6ème à la terminale, de construire progressivement, tout au long de leurs études secondaires une véritable compétence à s’orienter. Dans ce cadre, les élèves sont amenés à comprendre le fonctionnement d’une entreprise, ses enjeux, et la réalité de ses métiers, mais aussi à développer leurs compétences transversales (oralité, travail de groupe, autonomie) et à établir le lien entre les apprentissages acquis à l’école et leur application dans le cadre professionnel. Parcours Avenir se construit notamment au travers de stages, de visites d’entreprises et de rencontres avec les professionnels.

La voie professionnelle est une deuxième forme de participation de l’entreprise dans le système éducatif, puisqu’elle permet aux élèves concernés d’acquérir des connaissances et des compétences dans un secteur professionnel, avec une immersion de plusieurs semaines au sein d’une entreprise. L’enjeu actuel est de revaloriser les voies professionnelles qui ont eu longtemps la réputation d’accueillir des élèves « subissant » leur orientation et non la choisissant. Ce travail, de moyen terme, nécessite une collaboration accrue entre les entreprises, ses collaborateurs et les établissements d’enseignement afin d’organiser des visites d’entreprises, des témoignages ou des immersions.

Les partenariats école-entreprise peuvent également s’illustrer par l’aide à la formation des professionnels de l’éducation. Ces échanges entre les équipes éducatives et le monde professionnel peuvent porter sur les connaissances et compétences attendues dans le milieu professionnel ainsi que les qualifications les plus recherchées. Les membres de l’équipe éducative ont la possibilité d’effectuer un stage en entreprise afin d’améliorer leurs connaissances d’un secteur spécifique.

Tous les ans, les équipes de Nexity reçoivent trois cents stagiaires de 3ème dans le cadre d’un stage d’observation afin de leur faire découvrir les différents métiers de l’immobilier. Les élèves sont identifiés par les partenaires associatifs de la Fondation Nexity œuvrant en faveur de l’égalité des chances et par les collectivités locales.

 

  1. Renforcer la mobilisation de la communauté éducative

La mobilisation de la communauté éducative permet le renforcement des mesures de prévention du décrochage scolaire. Pour renforcer cette mobilisation, depuis la rentrée 2019, 80 territoires ont été désignés Lauréats du label « Cités éducatives », afin de fédérer tous les acteurs éducatifs – services de l’Etat, collectivités mais aussi associations et habitants – dans les territoires qui en ont le plus besoin[15]. Ce dispositif permet d’assurer une meilleure continuité éducative puisque chaque enfant est accompagné depuis la petite enfance, jusqu’à l’insertion professionnelle. En s’appuyant sur les dynamiques locales existantes et en impliquant les habitants et notamment les jeunes eux-mêmes, le dispositif permet de compléter et coordonner les dispositifs déjà en place.

Nathalie Elimas, secrétaire d’Etat en charge de l’éducation prioritaire, a déclaré que « les cités éducatives permettront de renforcer la continuité éducative, en proposant aux enfants et aux jeunes concernés une offre large qui répond à chacun de leurs besoins. J’en suis convaincue, la mise en réseau de tous les acteurs de terrain impliqués et le partage des bonnes pratiques permettra le développement ambitieux de ces projets éducatifs novateurs. Le renforcement des alliances éducatives et de toutes les formes de coopération est essentiel pour ne laisser aucun élève sur le bord du chemin. »[16]. En octobre 2020, le gouvernement a annoncé la création de 40 nouvelles cités éducatives.

 

[1] http://www.lab-afev.org/le-confinement-catalyseur-de-decrochage-scolaire/

[2] http://www.lab-afev.org/le-confinement-catalyseur-de-decrochage-scolaire/

[3] https://www.lexpress.fr/education/numerique-les-ordinateurs-et-des-tablettes-a-l-ecole-un-choix-irrationnel_1823580.html

[4] https://www.lefigaro.fr/actualite-france/plan-numerique-a-l-ecole-un-constat-severe-20190630

[5]https://emmaus-connect.org/2020/05/covid-19-actions-confinement/

[6] https://www.institut-telemaque.org/2020/04/07/confinement-entretenons-liens-sein-de-linstitut-telemaque/

[7] https://www.ouest-france.fr/education/ecole/confinement-un-plan-de-quinze-millions-d-euros-pour-l-education-dans-les-quartiers-defavorises-6813089

[8] https://mallettedesparents.education.gouv.fr/professionnels/ID190/classe-ouverte-en-activite

[9] https://www.reseau-canope.fr/education-prioritaire/agir/item/ressources/des-journees-portes-ouvertes-ou-classes-ouvertes-en-activite.html

[10] https://www.europe1.fr/societe/ces-pistes-pour-ameliorer-les-relations-entre-parents-et-profs-3561788

[11] https://journals.openedition.org/ries/3096

[12] https://www.cheminsdavenirs.fr/collectif-mentorat/

[13] https://www.lesechos.fr/2016/11/education-les-entreprises-sengagent-contre-le-decrochage-scolaire-216147

[14] https://www.education.gouv.fr/les-partenaires-du-monde-professionnel-12284

[15] https://www.education.gouv.fr/80-territoires-laureats-du-label-cites-educatives-pour-faire-des-quartiers-defavorises-des-lieux-de-7445

[16] https://www.cohesion-territoires.gouv.fr/lancement-de-40-nouvelles-cites-educatives-dans-le-cadre-du-plf-2021-pour-la-reussite-des-jeunes

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