La Fondation Nexity a débloqué un fonds exceptionnel d’aide d’urgence pour accompagner les associations venant en aide aux personnes à la rue et en grande précarité.
Ce fonds permettra de soutenir en priorité l’aide alimentaire d’urgence et l’achat de produits d’hygiène permettant la mise en œuvre des gestes barrières.
A ce jour, le fonds d’urgence permet le financement de :
- 12 440 repas en Ile-de-France et en Auvergne-Rhône-Alpes
- bons alimentaires et d’hygiène pour 500 personnes en situation de précarité, en Ile-de-France, Grand-Est et Hauts-de-France.
Il se répartit auprès de 7 associations sur les territoires les plus touchés par l’épidémie de Covid 19 :
- Le Samu Social de Paris (Ile-de-France) : financement de 2 000 repas pour les personnes sans abris
- Ikambere (Seine Saint Denis – Ile-de-France): financement de bons alimentaires et d’hygiène pour 50 familles, 60 nuitées d’hôtel et la participation aux loyers d’appartements passerelle pour de la mise à l’abri
- Utopia 56, (Calais, Grande Synthe, Ile-de-France): financement d’une aide alimentaire et sanitaire pour 200 à 300 personnes.
- Habitat et Humanisme en Rhônes-Alpes avec le financement de la préparation et la distribution de 3 240 repas pour des personnes à la rue et en grande précarité
- Food Sweet Food (Ile-de-France) : financement de 2 000 repas pour les personnes démunies et hébergées en urgence suite à la situation de confinement
- Foyer Notre Dame des Sans Abris (Métropole de Lyon) : financement de 2 200 repas pour les personnes démunies et hébergées en urgence suite à la situation de confinement
- Caritas Alsace (Grand Est) : financement de bons alimentaires pour 200 personnes pendant 1 mois dans les départements du Haut-Rhin et du Bas-Rhin
- Emmaüs Défi, Programme le radis (Ile-de-France) : financement de 3 000 repas pour les personnes en situation de précarité accueillies dans les centres d’hébergement d’urgence gérés par Aurore, Emmaüs Solidarité et Attol 75.
En savoir plus sur le programme le radis : https://www.carenews.com/fr/news/le-radis-se-mobiliser-n-est-plus-seulement-un-choix-mais-une-obligation-morale